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Fiche disque de ... 
                
                  Gilbert Bécaud  - Alors raconte
 
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		    		     Titre : Alors raconte 
					                     
		                		      		        Année : 1956 
		        
		      
                      Auteurs compositeurs : Gilbert Bécaud  - Jean Broussolle  
                       
		      
		      Pochette : Créatio Publicis  / Jacques Kriegsmann  
                     
                                           Durée :  4 m 11 s  
                     
                                            Label : La Voix de son Maître 
                     
                                                                  Référence :  FDLP 1049 
                     
                                                                                
                     
                    
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                  Paroles
 
                 
                
                  
                   [Deux hommes] 
Dis donc, vieux, quelle heure as-tu ? 
-Ben. J'ai à peu près la même heure que toi. Ben alors, il devrait être en retard. [brouhaha] Il est peut-être amoureux. Je l'ai jamais vu en retard. 
- Ah le voilà ! 
 
"Alors ?" 
[Gilbert Bécaud] Salut 
"Raconte-nous 
Ce qui est arrivé 
Comment ça c'est passé 
Pendant qu'on t'attendait là !" 
[Sifflement] 
"Alors? Tu ne dis rien?" 
[Sifflement] 
"Pourtant tu pourrais bien 
Penser à tes copains" 
- Parler du rendez-vous, c'est ça hein ? 
"C'est ça, c'est ça" 
Qu'elle m'avait donné 
 
Elle est arrivée 
Je la voyais qui marchait, qui marchait 
Qui marchait devant moi 
"Qui marchait devant toi" Oui 
Elle s'est retournée 
M'a regardé, regardé, regardé 
Comme si j'étais le bon Dieu 
"Comme si t'étais le bon Dieu" Oui 
Moi, moi je n'ai rien fait 
Alors là tu as eu tort 
Car dans mon cœur 
Ça tournait, ça tournait 
"Ça tournait, ça tournait" 
 
"Alors ? Ça tournait ?" 
- Mmmm Mmmm 
"Mais ça n'a pas tourné 
Pendant toute la soirée 
À moins que tu l'aies valsée tout la soirée 
Un, deux, trois, un, deux, trois, non!" 
 
"Alors raconte" 
[Sifflement] 
"Tu nous avais promis de ne rien nous cacher 
Pendant toute une nuit" 
- Oh, tout de suite 
"Tu as dû bien t'amuser" 
Et bien voilà 
 
Elle a pris ma main 
Et dans sa main qui tremblait, qui tremblait 
Elle a posé sa joue 
"Elle a posé sa joue" Oui 
Moi j'avais mon front 
Dans ses cheveux 
Qui dansaient, qui dansaient 
Qui dansaient dans le vent 
"Qui dansaient dans le vent" Oui 
Comme il faisait froid 
Je l'ai serrée 
Je l'ai serrée, tant serrée, tant serrée 
"Tant serrée, tant serrée ?" 
"Alors ?" 
On rêvait 
"C'est du joli" 
On rêvait qu'on s'aimait 
Mais ça n'a pas duré, tu sais 
J'ai senti qu'il fallait 
Fallait se décider 
"AAaah ! Allez" 
Je l'ai emmenée 
On s'est cachés, bien cachés, bien cachés 
Sous un coin de ciel bleu 
"Sous un coin de ciel bleu" Oh oui 
Là, j'ai vu mon nom 
Près de son nom qui brillait, qui brillait 
Qui brillait dans la nuit 
"Qui brillait dans la nuit" Oh oui 
 
Mais, mais, mais pour la quitter 
"Déjà !" 
J'ai dû penser que demain 
" Mmm ?" 
Ou après 
" Mmm Mmm" 
J'oserais 
"Quoi ?" 
L'embrasser ! 
"[Sifflements]" 
Lalalalouloulou 
                   		      Transcripteur : Dam-Dam   
                                     
                                
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Le scopitone avec la présence de Bardot. Une autre époque…
Une version instrumentale de ce titre, adaptée par Claude Bolling, a servi de générique à l'émission de TF1 en 1976 au titre identique, où des comédiens venaient raconter leurs dernières blagues. Très rapidement, l'émission a changé de titre et est devenue "Eh bien… raconte !", avec en générique la chanson "J'ai perdu ma chute" interprétée par Jean Parédès.
Personnellement, je me souviens plus de la version chantée par Gilbert en duo avec Smaïn, dans le concert des Enfoirés à l'Opéra Comique en 1995. Ce concert fut hélas la seule apparition de M. 100.000 Volts aux Enfoirés.
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