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Fiche disque de ... 
                
                  François Feldman  - Le serpent qui danse
 
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		    		     Titre : Le serpent qui danse 
					                     
		                		      		        Année : 1991 
		        
		      
                      Auteurs compositeurs : Charles Baudelaire  / François Feldman  
                       
		      
		      Pochette : Pierre Lacombe  
                     
                                           Durée :  3 m 52 s  
                     
                                            Label : Big Bang 
                     
                                                                  Référence :  868 346-7 
                     
                                                                                
                     
                    
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                  Paroles
 
                 
                
                  
                   A te voir marcher en cadence, 
On dirait un serpent qui danse. 
A te voir marcher en cadence, 
On dirait un serpent qui danse. 
 
Que j'aime voir, chère indolente, 
De ton corps si beau, 
Comme une étoffe vacillante, 
Miroiter la peau ! 
 
Sur ta chevelure profonde 
Aux acres parfums, 
Mer odorante et vagabonde 
Aux flots bleus et bruns. 
 
Comme un navire qui s'éveille 
Au vent du matin, 
Mon âme rêveuse appareille 
Pour un ciel lointain. 
 
Tes yeux où rien ne se révèle 
De doux ni d'amer, 
Sont deux bijoux froids où se mêle 
L'or avec le fer. 
 
REFRAIN 
 
Sous le fardeau de ta paresse 
Ta tête d'enfant 
Se balance avec la mollesse 
D'un jeune éléphant. 
 
Et ton corps se penche et s'allonge 
Comme un fin vaisseau 
Qui roule bord sur bord et plonge 
Ses vergues dans l'eau. 
 
REFRAIN 
 
Comme un flot grossi par la fonte 
Des glaciers grondants 
Quand l'eau de ta bouche remonte 
Au bord de tes dents 
 
Je crois boire un vin de bohême, 
Amer et vainqueur, 
Un ciel liquide qui parsème 
D'étoiles mon cœur ! 
 
REFRAIN 
                                     
                                
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Paroles de… Charles Baudelaire.
Voici les paroles de cette chanson, joli poème de Charles Baudelaire paru dans son recueil "Les Fleurs du Mal" (1857). [Merci !] ♫
Il y évoque son amour passionnel pour sa maîtresse Jeanne Duval, une jeune métisse antillaise.
Ce poème a également été mis en musique et chanté par Léo Ferré en 1957 (et repris par Catherine Sauvage en 1961), Serge Gainsbourg avec son titre "Baudelaire" extrait de l'album "Serge Gainsbourg n°4" en 1962, Georges Chelon en 2004 et par le groupe Dode en 2009.
Oui, j'allais dire que ce poème avait déjà été mis en musique par Serge Gainsbourg dans sa chanson "Baudelaire". Mais il me semble que ce titre "Baudelaire" a d'abord été enregistré par Catherine Sauvage avant de l'être par Gainsbourg lui-même.
En tout cas, j'ai lu il y a quelque temps en préparant ma chronique sur Feldman que ce dernier aurait décidé avec sa maison de disques de sortir "Le serpent qui danse" comme premier extrait de son album "Magic boulevard" en mai/ juin 91, histoire de faire un double clin d'œil : Un hommage à Charles Baudelaire mais aussi un hommage à Serge Gainsbourg décédé quelques mois plus tôt.
Si on ne peut pas douter de l'envie de Feldman de rendre hommage à Baudelaire, on peut en revanche douter de celle de rendre hommage à Gainsbourg, car on peut supposer que si ça avait vraiment été le cas, il aurait chanté ce texte de Baudelaire sur la musique de Gainsbourg et non sur une de ses propres compositions. D'ailleurs, je trouve qu'il manque quelque chose à cette composition de Feldman trop dépouillée. Mais bon, si je trouve que Feldman a été relativement peu inspiré pour cette composition, on ne peut nier son talent de mélodiste qui est souvent injustement sous-estimé parce qu'il a été un chanteur à succès, et qui dit chanteur à succès dit forcément daube pour certains.
Pas tout à fait d'accord avec toi Hug. L'interprétation et l'arrangement me semblent tout à fait gainsbarriens.
C'est surtout qu'il a surfé sur l'horloge adapté par Mylene Farmer quelques mois avant, et en pleine mylene mania il a voulu toucher au fillon
Je me permets de noter de façon totalement subjective mais néanmoins assumée que la pochette est vraiment cheum.
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