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Fiche disque de ... 
                
                  Bernard Ischer  - Pélerinage pour un amour
 
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		    		     Titre : Pélerinage pour un amour 
					                     
		                		      		        Année : 1968 
		        
		      
                      Auteurs compositeurs : Bernard Ischer  
                       
		      
		      Pochette : Maurice Apelbaum  
                     
                                           Durée :  1 m 27 s  
                     
                                            Label : Festival 
                     
                                                                  Référence :  SPX 33 
                     
                                                                                
                     
                    
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			 						 				 Ajouté le 15/03/2009              				
                        
                                                                
                                                            
                    
                                        
                    Au TOP 50 de B&M : 
                    
                                                                                    Classé 1 fois dans les 50 premiers 
                                         
                     
                    
                     
                     
                 
			
          				
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                  Paroles
 
                 
                
                  
                   J'ai repris ce chemin qui m'a conduit vers toi 
Comment t'appelais-tu, je ne sais plus déjà 
J'ai repris ce chemin que mon cœur connaissait  
Lorsque je t'aimais. 
 
Rien n'y avait changé, tout était à sa place, 
Le beau square, le marché, le long mur, la grand'place 
Le banc où nous venions les soirées de printemps 
Lorsque nous nous aimions. 
J'ai revu la vieille dame derrière ses grands carreaux 
Regardant dans le vague, sans pouvoir, les badauds 
Il ne lui restait que le bruit de sa rue 
Elle ne voyait plus. 
 
J'essayai de comprendre ce qui s'était passé 
Est-ce que c'était un songe, est-ce que j'avais rêvé ? 
Et pour ce souvenir tout au fond de mon cœur 
J'ai tellement peur. 
J'ai si peur de te perdre une seconde fois 
J'ai si peur d'oublier tes yeux remplis de joie 
J'aimerais tant garder cette vision de roi 
Ce banc, ce square, et toi 
 
J'ai repris ce chemin qui m'a conduit vers toi 
Comment t'appelais-tu, je ne sais plus déjà 
J'ai repris ce chemin que mon cœur connaissait 
Lorsque je t'aimais 
                                     
                                
                  Paroles en attente d'une autorisation des ayants droit. 
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Bernard version Péruvien , ça change !!
On a du mal à adhérer à cause de l'affection que nous ressentons pour "Ephéméride" mais c'est joli quand même … Méfions-nous cependant, RAPHAËL est capable de s'en "inspirer" pour ses futures "créations" …
Vrai que ça change d'éphéméride ou du soldat de bois (manque la touche "Gaston Bonheur"); mais en attendant, j'ai beaucoup aimé quand même !
Cette chanson a un petit côté sinistre que j'aime bien; et elle propose cet insondable paradoxe : si le monsieur n'aime plus la dame, pourquoi tient-il tant à ses souvenirs ? (Je suis pour les laisser reposer en paix)
Voici les paroles : [merci !]
Par contre, il n'est pas à son avantage sur la pochette: il ressemble à Marcel BARBEAULT, le tueur en série des années 70.
"Quand nous nous aimions
Regardant dans le vague sans vous voir(?), les badauds"
Plutôt :
Lorsque nous nous aimions
Regardant dans le vague, sans pouvoir, les badauds
Une bien belle chanson
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